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sylvie
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sylvie


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Localisation : Bangkok thailande
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MessageSujet: nouvelle alerte   nouvelle alerte EmptyVen 1 Avr à 6:31

Nouveau choc pour les rescapés du tsunami
Asie du Sud-Est. Trois mois après le séisme dévastateur du 26 décembre qui fit plus de 270000 morts, la terre a de nouveau tremblé, sans provoquer de raz de marée. Un bilan provisoire fait état d’au moins 400 morts sur deux îles indonésiennes.

8,7 degrés sur l’échelle de Richter. Trois mois après le séisme dévastateur (9,2 de magnitude) du 26 décembre qui fit plus de 270 000 morts, un nouveau puissant tremblement de terre a secoué cette région endeuillée sans provoquer cette fois-ci de tsunami. Le choc s’est produit dans la nuit de lundi à mardi à 200 kilomètres de Sumatra (Indonésie). Le séisme est « l’un des quatre ou cinq plus puissants séismes de ces cent dernières années », a indiqué un sismologue de l’Agence géologique américaine (USGS).

des Scènes de panique

Selon un dernier bilan provisoire, au moins 430 personnes ont péri : 340 sur l’île indonésienne de Nias et 100 sur celle Simeulue, frappée par une vague de trois mètres. Au moins 80 % des immeubles de la ville principale de Nias auraient été détruits. À Simeulue, le port a été gravement endommagé tandis que dans la ville de Sinabang, l’aéroport et l’hôpital principal ont été touchés. La Croix-Rouge indonésienne a réussi à acheminer rapidement une aide à Nias et Simeulue. Cinq hélicoptères militaires indonésiens ont par ailleurs été envoyés vers la première île. Le Japon s’est dit prêt à déployer des troupes et des équipes humanitaires si l’Indonésie en fait la demande.

Le bilan pourrait être plus lourd. Le vice-président indonésien Yusuf Kalla a estimé qu’« il y avait peut-être un ou deux milliers de morts » à Nias.La France a signalé la disparition de trois de ses ressortissants et la Suède de deux des siens sur cette île fréquentée par les amateurs de surf. Suivi de deux répliques de magnitude de 5,7 et 5,8, ce séisme a donné lieu à des alertes au tsunami dans plusieurs pays de l’océan Indien. Mais les vagues n’ayant pas eu, cette fois, l’ampleur de celles du 26 décembre, les alertes ont été rapidement levées.

Pendant quelques heures, la crainte d’un nouveau tsunami a provoqué de véritables scènes de panique en Indonésie, pays le plus touché en décembre avec 220 000 morts, mais aussi au Sri Lanka, en Inde et en Thaïlande. Cette supposée réplique (les scientifiques ne sont pas encore sûrs du lien avec le séisme du 26 décembre) a mis en évidence l’extrême vulnérabilité psychologique d’une population toujours en état de choc. Selon des psychologues, le séisme d’hier constitue un nouveau traumatisme.« Les effets psychologiques seront extrêmement graves. Pour les gens qui ont déjà perdu leur famille, leur toit, leurs biens et moyens de subsistance, cela va augmenter leur désespoir », a déclaré à l’AFP, Harry Minas, directeur du Centre pour la santé mentale internationale de Melbourne. « Trois mois après, beaucoup de gens sont encore portés disparus, et les rescapés avaient le sentiment de ne pas encore avoir surmonté l’épreuve », a-t-il ajouté pour expliquer ces scènes de panique.

L’alerte a fonctionné

Plusieurs responsables se sont félicités de la réactivité des pays touchés par ce séisme. « Le système a bien mieux marché cette fois-ci. Nous avions non seulement une surveillance et une information donnée aux pays, mais nous avons également vu les gouvernements avertir directement les autorités locales », a commenté Jan Egeland, secrétaire général adjoint de l’ONU chargé des opérations humanitaires. Le premier ministre thaïlandais, Thaksin Shinawatra, a déclaré que, « bien que notre système d’alerte ne soit pas encore en place, nous avons réussi à alerter les gens assez rapidement pour qu’ils puissent se mettre à l’abri ». Mais des médias et des députés sri-lankais se sont plaints d’avoir manqué d’informations lors de l’alerte au tsunami. Ils ont demandé la création d’un organe centralisé habilité à rendre publiques les alertes lors des catastrophes naturelles.

Dès hier matin, comme si de rien n’était, les touristes en vacances en Thaïlande sur l’île de Phuket, qui a payé un lourd tribut lors du tsunami du 26 décembre, avaient regagné les plages de sable blanc.

Damien Roustel
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